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  • Nos Diplomé.e.s

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  • La première génération de diplômé.e.s du master est sortie de la formation en juin 2015. Si nous manquons encore de recul pour avoir une vision fine de leurs parcours ultérieurs, les enquêtes réalisées auprès d’eux 18 mois après montrent qu’ils travaillent pour nombre d’entre eux dans les métiers de la culture et l’écriture : certains ont pris des postes dans l’enseignement secondaire, en médiathèque, dans l’administration d’institutions culturelles. Plusieurs ont engagé des projets de thèse en création littéraire ou en littérature. D’autres travaillent dans l’édition, notamment chez Belfond et à La Contre-Allée. D’autres encore poursuivent leurs projets dans le monde du théâtre et du cinéma.

     


    Nos diplômé.e.s participent à l’animation d’ateliers d’écriture - autour du projet du Labo des histoires -, sont rédacteurs pour la presse, animateurs de rencontres (par exemple au festival Hors Limites en Seine-Saint-Denis). D’autres encore poursuivent un parcours souvent déjà engagé au moment du master dans le monde du théâtre ou de l’écriture et de la production audiovisuelle.

     


    Les premières productions sorties du master n’ont pas non plus tardé à voir le jour : Les cosmonautes ne font que passer d’Elitza Gueorguieva est paru aux éditions Verticales en 2016. En 2017, Fief de David Lopez (Seuil) a été l’un des premiers romans les plus en vue de la rentrée littéraire, finaliste des prix Renaudot et Médicis. Lauréat du prix Inter 2018, le roman s’est vendu à plus de 40.000 exemplaires.

     

     

    En 2018 sont parus Habiletés sociales de Camille Cornu (Flammarion), Un emploi sur mesure de Sven Hansen-Løve (Seuil), Dans l’eau je suis chez moi d’Aliona Gloukhova (Verticales), Entrée libre de Mélanie Yvon (Le Nouvel Attila) et Mauvaise passe de Clémentine Haenel (Gallimard). En 2019, Mon temps libre de Samy Langeraert (Verdier), Un père à la plancha de Samuel Poisson-Quinton (Gallimard), Belleville City de Yannis Tsikalakis (Autrement), Boy Diola de Yancouba Diémé (Flammarion), À la demande d’un tiers de Mathilde Forget (Grasset), Avant que j’oublie d’Anne Pauly (Verdier), Ouverture à la française de Dora Djann (Emmanuelle Collas). En 2020, Le jour où le désert est entré dans la ville de Guka Han (Verdier), Échographie du vide de Camille Bonvalet (Autrement), Quitter Paris de Stéphanie Arc (Rivages), Nul si découvert de Valérian Guillaume (L’Olivier), Le chant du poulet sous vide de Lucie Rico (POL).

     

     

    Celles et ceux qui oeuvrent du côté de la poésie ne sont pas en reste : on raconte qu’on en a vu se produire dans des performances au Générateur à Gentilly, lors de la Nuit Blanche à Paris, ou comme Benoît Toqué au festival lillois Littérature, etc. Du même Benoît Toqué est paru Gloire Gouaille Gosier (Supernova Project, 2018), de Tania Tchenio Regards fauves (Cheyne Éditeur) et d’Eva Mulleras L’Oscil (Editions Unes, 2019).

     

    Nos diplômé.e.s disent que le passage par le master leur a permis d’écrire plus régulièrement et d’avoir plus de distance critique vis-à-vis de leur écriture. Les rencontres entre camarades de promotion se maintiennent : les amitiés sont fortes et font pleinement partie du parcours que chacun.e construit. Le projet "Cette histoire est la nôtre" a par exemple vu sept de nos diplômé.e.s travailler avec des enfants de sept à douze ans dont le français n’est pas la langue d’origine et produire avec eux un livre : C’est de toi que parle ce récit.

     

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